Comment se conformer à la loi sur le lancement d'alerte
R. C’est encore un outil peu utilisé et, pire encore, peu connu.
Je pense à quelques exemples intéressants, comme le travail réalisé il y a quelques années par la publication l’Espresso, avec RegeniLeaks, pour recueillir des informations sur le jeune chercheur italien tué en Égypte. Ou WiredLeaks, la plateforme récemment lancée par Wired Italia, qui a déjà mené une enquête exceptionnelle sur un site de poker en ligne illégal. Mais ce n’est pas encore un outil dont les lecteurs et les informateurs apprécient pleinement le potentiel. En particulier, ils ne se rendent pas compte de l’aspect essentiel : un tel outil est sécurisé et les protège eux, ainsi que leurs sources.
J’ai moi-même géré ma propre plateforme de signalement anonyme. Au final, il est souvent arrivé que les informateurs, qui avaient la possibilité d’utiliser une telle plateforme, préféraient encore envoyer une enveloppe anonyme au personnel éditorial. C’est drôle, car cela signifie qu’ils préfèrent utiliser une pratique du dix-neuvième siècle, peu sûre, plutôt qu’un outil contemporain efficace.
R. Il garantit l’anonymat complet des lanceurs d’alertes, même à mon égard. Pour n’importe quel journaliste, la protection des informateurs n’est pas seulement importante, elle est fondamentale. En particulier pour ceux qui traitent des questions et des récits sensibles.
Plus les sujets abordés sont sensibles, et plus les conséquences négatives potentielles pour les informateurs sont grandes, plus il est nécessaire de s’appuyer sur un tel outil qui garantit un anonymat total. Et nous ne parlons pas de questions générales de confidentialité, mais de risques réels allant des répercussions négatives sur le lieu de travail à la spéculation extrême des risques pour la sécurité des personnes.
Cela étant dit, les journalistes doivent davantage travailler pour obtenir un retour et des confirmations des rapports reçus qu’avec les canaux dits « traditionnels ». Il ne suffit pas de dire « je sais qui me l’a dit et je lui fais confiance », car avec ces outils, la source est complètement anonyme et intraçable. Mais c’est, ou ce devrait être, la manière d’interagir des journalistes avec leurs sources, quel que soit l’outil utilisé.
R. La certitude d’avoir un partenaire professionnel qui a développé un service efficace et convivial, également à la portée des utilisateurs qui peuvent avoir une connaissance limitée de la technologie. Et ce, bien sûr, sans que cela n’ait aucune répercussion sur la sécurité, ce qui, comme je l’ai dit, est l’aspect essentiel.
Également, la possibilité de faire partie d’un réseau qui, j’en suis sûr, contribuera à la connaissance et au développement de ce type d’outils, avec des effets positifs pour tous les acteurs impliqués.
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