Comment se conformer à la loi sur le lancement d'alerte
Le Vatican a récemment annoncé la mise en œuvre de nouvelles règles concernant la dénonciation. Ceci dans le cadre des efforts déployés par le pape François pour promouvoir la transparence financière et lutter contre la corruption au sein du Saint-Siège et de l’État de la Cité du Vatican.
Dans la stratégie de dénonciation du Vatican publié par le Bureau de l’auditeur général, il a souligné l’importance de la dénonciation pour faciliter la prise de conscience et garantir l’intégrité de l’institution. Les nouvelles procédures, qui entreront en vigueur le 1er février 2024, visent à permettre à toute personne, quel que soit son service, de signaler plus facilement les actes répréhensibles présumés, en particulier de nature financière.
Toutefois, la stratégie de dénonciation du Vatican comporte un aspect intéressant : les rapports anonymes ne feront pas l’objet d’un suivi. Bien que cela puisse sembler contre-intuitif, le Vatican estime que la transparence et la responsabilité ne peuvent être assurées que par un système qui favorise à la fois la confidentialité et la responsabilité. L’auditeur préservera la confidentialité des noms des personnes ayant fait l’objet d’un rapport, sauf dans les cas particuliers où les autorités judiciaires doivent être informées.
En clarifiant la portée des rapports admissibles et exclus, le Vatican vise à encourager les dénonciations sérieuses portant sur des délits importants, plutôt que les plaintes insignifiantes concernant des patrons ou des collègues.
Mais pourquoi l’anonymat n’est-il pas autorisé ? Le Vatican reconnaît qu’une culture de la confiance est essentielle pour une dénonciation efficace. En exigeant des individus qu’ils s’identifient lorsqu’ils font des signalements, la stratégie de dénonciation du Vatican assure que les préoccupations sont prises en compte et que des mesures appropriées sont prises. Cela permet également d’éviter l’utilisation abusive du système à des fins de vengeance personnelle.
L’approche du Vatican soulève une question importante : une solution de messagerie électronique interne pour la dénonciation peut-elle suffire ? La réponse est non, et voici pourquoi :
Enfin, outre les rapports écrits, les rapports oraux peuvent également constituer une option intéressante pour les lanceurs d’alerte. Ils leur permettent de fournir des informations et des preuves par le biais d’une communication orale. Cela est particulièrement utile pour les personnes qui ne se sentent pas à l’aise ou qui ne sont pas en mesure de rédiger des rapports détaillés. Les nouvelles procédures de dénonciation du Vatican autorisent les rapports oraux par le biais de réunions en face à face ou de vidéoconférences. Il est important de reconnaître les limites de cette approche. Le réunions en face à face comme principale méthode de signalement oral peut créer des obstacles pour les dénonciateurs. Il n’est pas toujours possible ou sûr pour eux de divulguer leurs préoccupations en personne. Cela peut dissuader les personnes de communiquer des informations importantes et, en fin de compte, nuire à l’efficacité du système de dénonciation.
Compte tenu de ces inconvénients, il vaut la peine d’explorer des alternatives aux solutions de dénonciation basées sur le courrier électronique. Les systèmes numériques de dénonciation, comme Whistlelink, offrent une communication bidirectionnelle sécurisée et anonyme, contribuent à la conformité et inspirent confiance aux employés.
Afin de garantir un anonymat total et de protéger l’identité des dénonciateurs, Whistlelink a introduit la fonction Voice Scramble pour les messages vocaux Whistlelink. Cette fonction déforme la voix du dénonciateur. Il offre une protection supplémentaire et garantisse que les dénonciateurs peuvent signaler les fautes commises sans craindre de représailles. Grâce à Whistlelink, l’organisation est en mesure de fournir un espace sûr aux dénonciateurs. Ils puissent signaler des irrégularités et traiter les risques potentiels au sein de l’organisation avant qu’ils ne se transforment en problèmes plus graves.
En résumé, l’engagement du Vatican en faveur de la transparence, de la responsabilité et de la confiance dans sa solution de dénonciation est louable, même avec sa position actuelle sur les rapports anonymes. Cependant, en adoptant un système de dénonciation numérique, le Vatican peut encore améliorer ses efforts de dénonciation. Il renforcera ainsi son engagement en faveur de la transparence financière et de la lutte contre la corruption.
Alors, cher Pape, il est peut-être temps d’envisager une solution complète, sécurisée et entièrement confidentielle? Whistlelink peut faire passer vos efforts de dénonciation au niveau supérieur !
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